La mémoire historique est-elle soluble dans les réseaux sociaux ?

Par Elisabeth Clauss
La nouvelle génération – quelle que soit la vôtre, ça colle, vous verrez – passe ses journées sur Facebook, Instagram, Twitter ou Youtube, pensant plus ou moins consciemment « s’informer ». Chez les 18-24, 38 % des jeunes trouvent leurs principales sources d’infos sur leur smartphone, et 41 % via les réseaux sociaux. Cette manière d’appréhender la connaissance transforme le rapport à notre histoire commune. « Quid » a cherché à défricher le terrain.