Ressources documentaires « vues ailleurs » (articles, vidéos, etc.) sur la prévention de la violence, la communication et la gestion des conflits.

Dans notre monde digital, les jeunes perdent-ils la capacité à décoder les émotions ?

Selon une étude, les capacités à lire les émotions faciales pourraient décliner, en raison de la diminution d’interactions « face à face ».

Les résultats mesurent des changements à court terme dans la capacité au décryptage : un préadolescent de plus ou moins 12 ans qui a passé 5 jours d’affilée sans être connecté sur des écrans a de meilleures performances dans la reconnaissance des émotions qu’un enfant que l’on a laissé passer plusieurs heures sur son écran.

Une des auteures déclare : « vous ne pouvez pas apprendre les signaux émotionnels non verbaux à partir d’un écran de la même façon que vous pouvez les apprendre dans une conversation face à face ».

D’autres études devront confirmer ou infirmer cette hypothèse et à mesurer concrètement les éventuelles différences entre une interaction directe et une interaction par écran interposé.

Le cyberharcèlement (Conseil Supérieur de l’éducation aux médias)

L’aisance de publication via les technologies de l’information et de la communication couplée aux possibilités d’anonymat peut mener à une nouvelle forme de harcèlement notamment par courrier électronique, sur des forums, par messagerie instantanée, ou sur les réseaux sociaux en ligne. Ce cyberharcèlement est une forme de harcèlement parmi d’autres.

Contrairement à certaines idées reçues, les études indiquent que les réseaux sociaux n’ont pas d’influence sur l’ampleur du phénomène de harcèlement. Ils ne sont donc pas à l’origine d’une « explosion » présumée de cas. On en parle peut-être de plus en plus mais il ne s’agit en aucun cas d’un phénomène nouveau. Le harcèlement est juste plus cadré par les études, recherches, campagnes qu’auparavant. Dès lors, il est mieux repéré et qualifié avec plus d’efficacité.

Par contre, ce n’est pas parce qu’il n’est pas neuf qu’il ne faut pas s’en préoccuper car il y a de réelles conséquences en terme de santé mentale et de parcours scolaire et les effets se font sentir très longtemps.

Inutile de crier, votre ado (ou plutôt son cerveau) ne vous entend pas

Selon une étude de chercheurs en neurosciences américains, le cerveau des ados ne prend pas en compte le point de vue de leurs parents lorsqu’ils entendent des reproches.

Nous savions déjà que les relations parents-enfants peuvent être délicates, surtout au moment de la redoutée crise d’adolescence. Un groupe de scientifiques des universités de Pittsburgh, Berkeley et Harvard, ont examiné 32 adolescents et pré-adolescents à la moyenne d’âge de 14 ans et leur ont fait passer un scanner du cerveau.

Pendant l’expérience, les ados ont écouté des clips de 30 secondes de leur propre mère en train de les critiquer.

Selon cette étude publiée le 22 octobre, en cas de critiques de la part de leur mère, le cerveau des ados montre plus d’activité dans les zones associées aux émotions désagréables, mais aussi une activité réduite dans les zones impliquées dans la régulation des émotions et la compréhension du point de vue des autres.

Les émotions ont une influence concrète sur la santé

Les compétences émotionnelles des personnes ont une influence concrète sur leur santé, mentale et physique, et sur leur bien-être en général, confirme une étude présentée mercredi et menée conjointement par la Mutualité chrétienne (MC), l’Université catholique de Louvain (UCL) et la Katholieke universiteit Leuven (KUL).

A titre d’exemple, sur un an, en moyenne, une personne disposant de compétences émotionnelles élevées voit le médecin une fois de moins, passe une demi-journée de moins à l’hôpital et consomme 128 doses de médicaments de moins qu’une personne disposant de compétences émotionnelles peu développées.

À l’école de l’estime de soi (Par Benoit Galand, Sciences Humaines)

La confiance en soi et celle que les enseignants accordent à leurs élèves jouent un rôle notable dans la réussite. D’où l’importance d’ajuster une pédagogie qui valorise les succès plutôt qu’elle sanctionne les échecs.

Depuis plusieurs décennies, des recherches en éducation soulignent l’importance de la confiance en ses capacités à apprendre. La confiance permet de faire face à l’anxiété, améliore l’engagement, favorise un usage judicieux des bonnes stratégies d’apprentissage et l’acquisition de connaissance. Contrairement à une idée reçue, ces travaux indiquent que ce n’est pas l’estime de soi globale qui est déterminante, mais plutôt ses capacités à agir dans des domaines spécifiques.

« Les études convergent pour montrer que les conditions favorables à l’apprentissage sont non seulement cognitives, mais également relationnelles et émotionnelles ».

Pour l’auteur, face à l’« illusion d’incompétence », « les pratiques d’enseignement gagneraient à la fois à favoriser les réussites et à façonner leurs interprétations ». Il suggère également des méthodes de travail coopératif et de tutorat. Aussi affirme-t-il que « l’enseignant peut veiller à enseigner explicitement des stratégies d’apprentissage et à fournir des feedbacks liés à l’utilisation de ces stratégies ».

Climat scolaire – Médiation par les pairs : régulation et gestion des conflits

Parmi les sept facteurs déterminants du climat scolaire, la médiation par les pairs est une stratégie pédagogique favorable à l’engagement et à la motivation des élèves.

Cet article définit la médiation par les pairs et les situations dans lesquelles elle est utile. Il expose ensuite cinq « étapes » d’une médiation « en pratique » :

  1. Accueil et exposé du cadre
  2. Exposé des faits et reformulation
  3. Exploration du conflit [et des émotions / des besoins, ndlr]
  4. Recherche de solutions
  5. Accord [entente]

Enfin, il explique brièvement les règles à respecter par les personnes impliquées dans le processus, le rôle du médiateur et propose l’un ou l’autre exemple illustratif.

Guide sur le climat scolaire et médiation par les pairs à l’école primaire – Éduscol

Le guide « Agir sur le climat scolaire à l’école primaire » propose aux équipes des écoles un ensemble de pistes pour améliorer la vie de l’école.

La charte de qualité de la « Médiation par les pairs » permet de cibler la gestion des conflits entre élèves par les élèves eux-mêmes. La charte vise à améliorer l’axe justice scolaire du climat scolaire.

Harcèlement à l’école : des conséquences 40 ans plus tard

Selon une étude du King’s College de Londres, l’impact négatif du harcèlement scolaire sur la santé physique et mentale s’observe encore près de 40 ans après les faits.

Les individus ayant été victimes de harcèlement scolaire seraient plus souvent dépressifs, angoissés ou suicidaires, et également moins souvent en couple ou employés.

Stigmatisation de l’apparence chez les jeunes : attention danger

Entrer dans la vie adulte, c’est devenir autonome et indépendant en trouvant une activité professionnelle, une vie relationnelle satisfaisante et une place dans la société.

Mais quand on est gros, ce parcours s’avère semé d’embûches tant les stéréotypes liés à l’obésité sont négatifs. Ils contaminent les jugements portés par autrui et par la personne concernée elle-même. Comment lutter contre ces images de personnes perçues comme négligentes, sans volonté, peu performantes et malades ? Ces jugements les enferment dans une disqualification d’autant plus difficile à surmonter qu’elle n’est pas reconnue légalement et qu’elle est légitimée par un discours officiel alarmiste et culpabilisant.

Pourquoi les adolescents attachent autant d’importance au regard des autres

Si les adolescents sont naturellement complexés à cet âge de leur vie, le cerveau a lui aussi sa part de responsabilité dans le phénomène, selon une étude de l’université de Harvard. En cause : une connexion très intense entre deux parties du cerveau, le cortex préfrontal (une région qui se développe tardivement) et le striatum (qui sert au contrôle des mouvements mais aussi de la douleur).

Lors d’un test où des adolescents avaient l’impression d’être observés, des experts de l’Université d’Harvard ont remarqué une forte intensité des échanges entre ces deux zones du cerveau.

Perception du changement : 3 filtres à connaître

Tout repose sur la perception du changement, entend-on souvent. Que ce soit pour gérer nos propres attitudes en situation de changement ou celles des autres qui sont concernés par celle-ci (en gestion par exemple), il convient donc de comprendre comment nous utilisons les filtres de la perception.

Il y a trois processus particuliers qu’il faut connaître quand on veut comprendre la perception du changement, processus qui entrent en jeu pour la conservation des stimuli externes de notre environnement : la généralisation, la distorsion et la sélection. Ces processus agissent souvent à notre insu pour construire notre carte du monde. Ils font en sorte que, devant la nouveauté d’une situation, nous avons naturellement tendance à appliquer un programme connu, plutôt que d’en chercher un plus adéquat, de façon à éviter la recherche dérangeante et parfois souffrante d’un nouvel équilibre.

Conférence TED : « Oser être en désaccord »

La plupart des gens tendent à éviter le conflit. Comme Margaret Heffernan le montre dans cette conférence TED, un bon désaccord est central pour progresser. Elle illustre – parfois de manière contre-intuitive – comment les meilleurs partenaires ne sont pas des échos ou des miroirs l’un de l’autre, et comment les grandes entreprises et équipes de recherche autorisent les individus à affirmer de profonds désaccords.

Les cadres privilégient les conditions de travail au salaire

Soucieux de leurs conditions salariales, les cadres ? Pas tant que cela, à en croire l’étude Robert Walters parue cet été. En effet, « l’environnement de travail, le contenu de la mission et les perspectives d’évolution sont devenus des critères essentiels », explique Jean-Pierre Baudinat, Senior Manager de la division RH chez Robert Walters France

[…] Les cadres attendent de construire du lien social sur le lieu de travail et veulent avoir la possibilité de communiquer avec leurs collègues

[…] Leur but est ainsi de s’engager dans un travail collaboratif et de bénéficier d’éléments fédérateurs au sein de l’entreprise pour favoriser l’esprit de « team building ». Ils se montent soucieux de ce sentiment d’appartenance qui, au-delà de la cohésion d’équipe, crée du lien et favorise le partage de bonnes pratiques

  • Lire l’article complet : http://www.focusrh.com/remuneration/pratiques-salariales/a-la-une/les-cadres-privilegient-les-conditions-de-travail-au-salaire.html

Le rôle de l’intelligence émotionnelle dans le recrutement

Si les entreprises ont pendant longtemps soumis les candidats à des tests de QI dans le cadre des processus de recrutement, elles sont désormais de plus en plus nombreuses à prendre en compte un critère complémentaire : l’intelligence émotionnelle (IE, ou EQ en anglais).

En effet, dans les années 90, la mise en lumière de l’intelligence émotionnelle a démontré que les personnes dotées d’un QI dit moyen et d’une IE élevée étaient plus performantes que celles uniquement dotées d’un QI élevé dans 70% des cas. Mais que révèle l’intelligence émotionnelle ? Comment intervient-elle au quotidien dans le travail ?

  • Lire l’article complet : http://parlonsrecrutement.michaelpage.fr/lintelligence-emotionnelle-dans-le-recrutement/

La campagne de l’Unicef contre le (cyber)harcèlement

3 affiches qui voient des ados en « exécuter » un autre avec leurs smartphones.

http://www.rtbf.be/purefm/article_puissante-campagne-contre-le-cyber-harcelement-chez-les-jeunes?id=9092941

Une campagne intéressante pour sensibiliser les jeunes aux conséquences parfois dramatiques des situations de (cyber)harcèlement (objectif d’interpellation, support de discussion et de sensibilisation, etc.).

La symbolique est cependant réductrice s’il s’agit de bien comprendre et de prévenir le phénomène. En effet, le harcèlement est avant tout un phénomène groupal, avec des processus et des rôles bien définis, de sorte qu’il ne suffit pas de « culpabiliser » ceux qui sont « bourreaux » à un moment donné (sous peine d’ailleurs de reproduire la logique de harcèlement). Cela revient aussi à criminaliser ce phénomène et à désigner les téléphones comme étant des armes alors que ceux-ci sont également utilisés au contraire pour une socialisation saine, ce qui n’est peut-être pas le plus constructif.

 A l’Université de Paix, nous travaillons sur plusieurs axes :

  • sensibiliser à propos des conséquences
  • informer sur les dynamiques de groupes, les phénomènes d’étiquetage, d’exclusion, de bouc émissaire, ou encore plus généralement de domination et de leadership
  • proposer des pistes d’intervention (mesures « curatives ») : séances de recherche de solutions au problème avec tous les acteurs concernés, développement d’espaces de communication
  • agir en prévention spécifique sur la question du cadre, du règlement ; travailler au niveau du respect mutuel entre les personnes
  • développer les compétences sociales et émotionnelles des jeunes et des adultes. En l’occurrence, les témoins (qui parfois ne cautionnent pas le harcèlement mais n’interviennent pas pour autant) sont des acteurs capitaux qui ne sont pas présents sur les images de la campagne, avec qui nous travaillons les questions d’empathie.
  • favoriser des dynamiques de groupe constructives, en développant le climat de classe
  • former et informer tous les acteurs éducatifs : parents, éducateurs, enseignants, pms, etc.

Pour en savoir plus sur nos actions, lire : http://www.universitedepaix.org/le-cyber-harcelement-cest-du-harcelementhttp://www.universitedepaix.org/harcelement-a-lecole-comprendre-identifier-agir

L’altruisme, c’est pour les Bisounours ?

Cette vidéo d’une vingtaine de minutes explique que le mot « Bisounours » est devenu une insulte pour disqualifier les propos d’une personne. Il remet en cause le préjugé selon lequel « l’homme est un loup pour l’homme » (Hobbes). Selon cette idée reçue, il faudrait sans cesse être en compétition, quitte à écraser l’autre, sous peine de n’être qu’un niais qui ne passera pas l’épreuve de la sélection naturelle. En se basant des études récentes sur la période de la préhistoire (qui n’était pas particulièrement violente), sur des œuvres philosophiques (Rousseau), sur les propos de Darwin et la biologie ou encore sur le fonctionnement de notre système nerveux (amélioration des capacités et du bien-être), la vidéo montre que l’altruisme et l’empathie sont loin des clichés. Faire le choix de « développer notre altruisme comme un muscle » pourrait améliorer la société. Au niveau politique, mais aussi simplement au niveau du quotidien (en famille, à l’école, en groupe ou au travail)…

Facebook teste l’élargissement du bouton « j’aime » à d’autres émotions

Six nouvelles options seront accolées au bouton « j’aime » : « love » (j’adore), « haha », « yay » (exprimant le contentement), « wow », « sad » (triste), « angry » (en colère), toutes représentées par une émoticône.

« Tous les moments ne sont pas de bons moments, et parfois vous voulez simplement pouvoir exprimer de l’empathie », a commenté Mark Zuckerberg, PDG et fondateur du groupe, sur sa propre page Facebook.

« Ce sont des moments importants où vous avez besoin de pouvoir partager plus que jamais, et un ‘j’aime’ n’est pas forcément la meilleure façon de vous exprimer », a-t-il relevé.

« Il ne s’agit pas d’un bouton ‘j’aime pas’ mais cela vous donne la possibilité d’exprimer rapidement votre tristesse et votre empathie – en plus du plaisir ou d’une réaction chaleureuse », a-t-il ajouté.

Cette décision corrobore les propos de notre article « comprendre les relations numériques » : les émotions et leur symbolisation sont bien présentes même sur les médias numériques.

Lire l’article complet : http://www.lalibre.be/actu/cyber/facebook-teste-l-elargissement-du-bouton-j-aime-a-d-autres-emotions-5616d81e35700fb92f8bc30e

La mindfulness en entreprise : réintégrer une dimension oubliée

Les pratiques contemplatives sont accueillies par un nombre croissant d’entreprises en France et il faut bien sûr s’en réjouir à un moment où la connexion permanente via les outils digitaux laisse de moins en moins de moments de respiration et de retour à l’essentiel.

Mais ces pratiques sont encore trop souvent présentées aux dirigeants comme des outils pour être moins stressé, plus concentré et plus efficace. Sont alors oubliées plusieurs dimensions essentielles de ces pratiques, tout aussi riches pour l’entreprise et pour les hommes et femmes qui y travaillent: la possibilité de trouver plus de justesse dans la prise de décision, une connaissance de soi plus fine, et le développement de la capacité à mieux « prendre soin » des collègues et collaborateurs de façon bienveillante.

Lire l’article complet : http://www.huffingtonpost.fr/matthieu-ricard/meditation-bureau-entreprise_b_8280696.html

La qualité de vie au travail : et si nos relations y jouaient un rôle primordial ?

Le burn-out, le fait de se consumer au travail, serait lié à notre relation avec les autres et non pas à notre charge de travail. Une révélation qui donne une autre dimension à cette maladie professionnelle reconnue par les autorités politiques.

Dernièrement un article circulant sur Facebook titrait « Bien-être au travail : votre fatigue n’est pas liée à ce que vous faites, mais à ce que vous ne dites pas ». Interpellant… Plusieurs études sur le sujet ont conclu que la qualité de vie au travail est conditionnée presque exclusivement par la qualité des relations au travail, et quasiment pas par son cadre matériel ou les tâches à réaliser.

Lire l’article complet : http://www.cjc.be/La-qualite-de-vie-au-travail-et-si-nos-relations-y-jouaient-un-role-primordial.html

« Témoins de harcèlement, ils ont la bonne réaction » (Huffington Post)

En tant que témoins, les « tiers » ont un rôle crucial par rapport aux phénomènes de harcèlement.

https://www.youtube.com/watch?v=cUd2XKdSLsQ

La « pleine conscience » pour prévenir la dépression chez les adolescents

Les résultats de l’étude montrent que la dépression et l’anxiété diminuent significativement après neuf séances hebdomadaires.

Une intervention préventive basée sur la «pleine conscience» présente un effet bénéfique sur la gestion des émotions et de la dépression chez les adolescents, ressort-il d’une recherche menée par le professeur Pierre Philippot, spécialiste des troubles dépressifs à l’UCL.

La pleine conscience résulte du fait « d’orienter volontairement l’attention sur son expérience présente et de l’explorer avec ouverture, que nous la jugions agréable ou non, tout en développant une attitude de tolérance et de patience envers soi », comme l’a expliqué le Pr. Philippot.

Intégrée à une intervention préventive, cette approche a pour objectif d’éviter l’apparition ou la rechute de la dépression. Elle s’inscrit aussi dans le souci de trouver des solutions non-médicamenteuses, notamment pour traiter les adolescents ou les personnes âgées déjà soumises à plusieurs traitements.

> Lire l’article complet : http://www.lavenir.net/cnt/dmf20151020_00722449

Conférence TEDx : « L’intériorité citoyenne », par Thomas d’Ansembourg

> Voir la conférence TED : https://www.youtube.com/watch?v=54s64PB0PC4

Les enfants et les écrans – Usages des enfants de 0 à 6 ans, représentations et attitudes de leurs parents et des professionnels de la petite enfance

 L’ONE s’est associé au CSEM afin de mener une enquête sur l’usage des écrans numériques chez les jeunes enfants.

Depuis quelques années, les technologies de l’information et de la communication ont littéralement envahi nos foyers. L’Office de la Naissance et de l’Enfance (ONE) et le Conseil supérieur de l’éducation aux médias (CSEM) ont donc décidé de mener, au sein de la Fédération Wallonie-Bruxelles, une étude auprès des professionnels de l’enfance et des familles avec de jeunes enfants (moins de 6 ans). Cette enquête, confiée au Centre d’Etudes de la Communication de l’UCL, visait à appréhender les différents modes d’utilisation des écrans et leur imprégnation au sein des familles.

> Lire l’article complet (ainsi que le dossier de presse et le rapport de recherche) : http://www.one.be/actualites-one/details-actualites-one/les-enfants-et-les-ecrans/

Comment bien commencer la journée? En méditant dans les transports

Il n’est pas toujours facile de commencer sa journée de façon complètement sereine avec ce qui se passe autour de soi et dans le monde. En particulier le trajet pour aller de chez soi au travail peut devenir une routine plutôt pénible pour certains d’entre nous.

[…] Une fois arrivé sur votre lieu de travail, votre sérénité passera peut-être par une meilleure présence à vous même, mais aussi aux autres. Voici un défi du quotidien qui se reflète souvent dans chacun de vos comportements. Par exemple lorsque vous dites bonjour à un ami, à un collègue, à un proche.

> Lire l’article complet : http://www.huffingtonpost.fr/2015/12/21/comment-bien-commencer-journee-meditant-transports_n_8812084.html

Burn-out : « Quand on n’a rien d’autre que son travail, on ne se protège pas »

Le burn-out, l’épuisement au travail en français, est un phénomène encore tabou en France. Invité sur le plateau de 13 Heures, le docteur Patrick Légeron affirme observer une recrudescence de l’épuisement au travail, notamment chez les patrons. Mais le phénomène ne concerne pas que les patrons. Il concerne tout le monde.

« On peut dire que le burn-out a deux facteurs de cause : le premier est l’environnement de travail […], mais aussi l’autre élément qu’il ne faut jamais oublier, c’est les aspects de personnalité, le surinvestissement, c’est-à-dire être complètement impliqué dans son travail«

> Lire la suite sur le site de FranceTVinfo : http://www.francetvinfo.fr/societe/burn-out-quand-on-n-a-rien-d-autre-que-son-travail-on-ne-se-protege-pas_1267139.html

Harcèlement scolaire – Le débat des Décodeurs du 13 décembre 2015 (Vidéo)

Dans cette émission des Décodeurs (RTBF) du 13/12/2015, les chroniqueurs traitent de la question du (cyber)harcèlement à l’école. Le programme de prévention réalisé à l’initiative de l’Université de Paix (et non par la FWB comme cela est déclaré dans l’émission) et soutenu par la Fondation Bernheim y est évoqué. Pascale Maljean, Directrice de l’Institut de la Providence à Wavre, explique les actions que nous avons mises en place en partenariat avec cette école.

> Voir l’émission sur le site de la RTBF : http://www.rtbf.be/video/detail_le-debat-des-decodeurs-du-13-12-2015?id=2067504